Une maison délabrée, un jardin qui fleurit, des villes qui s’ouvrent sur un parcours poétique
Adèle habite une maison bien trop grande pour elle seule. Son âge avancé, ne lui permet plus d’entretenir comme il se devrait cette maison et c’est la maison qui à son tour habite Adèle. La nature reprend ainsi son cours sur cet élément contre nature construit par l’homme : la maison. Les murs se dégradent et perdent leur paraître pour laisser régner une esthétique naturelle, qui surgit d’elle même, sans fioritures ni appartenance aucune.
Le jardin mèle les fleurs colorées qu’elle aime tant avec les murs recouvert de chaux, restes d’un passé où les arbres fruitiers, collés aux murs étaient à l’abri des gelées hivernales
Adèle habite une maison bien trop grande pour elle seule. Son âge avancé, ne lui permet plus d’entretenir comme il se devrait cette maison et c’est la maison qui à son tour habite Adèle. La nature reprend ainsi son cours sur cet élément contre nature construit par l’homme : la maison. Les murs se dégradent et perdent leur paraître pour laisser régner une esthétique naturelle, qui surgit d’elle même, sans fioritures ni appartenance aucune.